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OeE , la double peine des patients : faire face aux difficultés physiques et psychologiques  

L'œsophagite à éosinophiles (OeE) est une maladie difficile à vivre. Ses symptômes limitent progressivement l'ingestion des aliments les plus banals. Restrictions alimentaires et symptômes douloureux sont au rendez-vous. Mais les patients atteints d’OeE ne souffrent pas seulement physiquement, loin de là¹. 

Une interaction complexe à l’origine de l’OeE  : comprendre la physiopathologie de la maladie  

L’œsophagite à éosinophiles est une pathologie dont l’épidémiologie évolue.  Elle résulte d’une inflammation persistante, qui induit un remodelage et une fibrose au niveau de l'œsophage¹.  Son origine est multifactorielle, impliquant l'interaction complexe entre génétique, facteurs environnementaux, dysfonctionnement du système immunitaire et atopie - à tel point que le rapprochement avec d'autres maladies peut conduire à des diagnostics erronés^{1, 2}.   

OeE , en route vers le contrôle   : régime alimentaire, traitements médicamenteux et dilatation  

Tous les professionnels de santé partagent un même objectif : améliorer la qualité de vie de leurs patients. Chaque cas d'œsophagite à éosinophiles est unique et nécessite une approche spécifique, voire une combinaison de plusieurs approches. Il existe aujourd’hui plusieurs options thérapeutiques qui peuvent contribuer à réduire les symptômes de l'œsophagite à éosinophiles : les régimes alimentaires, les thérapies médicamenteuses conventionnelles (IPP, corticostéroïdes) et la dilatation font partie des options de première ligne pour les patients souffrant d’OeE.  Le choix du traitement doit être individualisé, centré sur une prise de décision partagée entre le médecin et son patient et peut être modifié à tout moment¹. Rien n’est moins simple.   

Les signes d’appel de la forme juvénile de la maladie de Pompe

La maladie de Pompe est une myopathie génétique rare sous-diagnostiquée, d’évolution hétérogène entraînant une dégradation de la qualité de vie, une perte progressive de l’autonomie motrice et respiratoire à l’origine d’une réduction de l’espérance de vie.^1,2

Cas clinique : Déficit en SphingoMyélinase Acide ou ASMD

État des lieux de la médecine de précision en oncologie en France

Quand se nourrir devient un problème : lumière sur l'œsophagite à éosinophiles (OeE)

L’œsophagite à éosinophiles (OeE) peut être une source d’angoisse pour beaucoup⁷. Qui mieux qu’un médecin pour comprendre les défis et enjeux du quotidien des patients et de la prise en charge de l’OeE ? C’est pourquoi nous vous proposons de partager des clés pour qu’ensemble, nous puissions aider les patients qui en souffrent.

Prise en charge ultérieure chez le patient dont la PA est contrôlée à 6 mois

Dans cet article basé sur les recommandations HAS, vous pourrez en savoir plus à propos de l’organisation du suivi après 6 mois de prise en charge. Ensuite, seront abordées l’adaptation des traitements du patient hypertendu après 6 mois ainsi que la prise en charge de l’hypertension artérielle (HTA) masquée ou ambulatoire isolée.

Prise en charge initiale de 0 à 6 mois : hypertension artérielle (HTA) non compliquée

Dans cet article basé sur les recommandations HAS, vous pourrez en savoir plus à propos de la consultation d’information et d’annonce à votre patient atteint d’hypertension artérielle ainsi que de la place des mesures hygiéno-diététiques. Vous pourrez également en apprendre davantage quant à la cible tensionnelle à atteindre à six mois, aux éléments à prendre en compte dans le choix initial des médicaments, à l’adaptation du traitement au cours des six premiers mois ainsi qu’à la classe médicamenteuse de début de traitement.